Paris Cocktail Week 2018 du 20 au 27 Janvier 2018

Paris Cocktail 2018

4 ème édition de la PARIS COCKTAIL WEEK, oeuvre créatrice de Thierry DANIEL et de Eric FOSSARD.

Du 20 au 27 janvier 2018, PARIS a été une fête si réussie. 150 cocktails, 75 Bars, des événements marquants, une dédicace sur l’art du cocktail par Georgette Moger Petraske, les secrets des bartenders, des guests, un grand mix, un combat de chefs, un parcours organoleptique, des cocktails académies et plus de limite, plus de rive droite, de rive gauche, les ponts entre les 2 rives étaient suspendus aux sens des initiés et non initiés, des Mister and Miss Cocktails, à leurs palais, à leurs sourires, à leurs mots, leurs pailles, leurs cuillérées.

La nuit a drapé PARIS d’habits de fête et de fines bulles de PERRIER sous les douces mélopées d’une musique imagée et jouée par un pianocktail de Boris VIAN.

La Paris Cocktail Week 2018, mérite un bel hommage en mode parcours référencé retraçant les 75 lieux de saine débauche, 75 soit le département des cocktails, en 6 airs comme autant de Sens…

Sur un Air de Amadeus, juste éclairé par une lampe d’aladin Solera, des Little Bastards ont donné le tempo du shake, Fitzgerald a trinqué au succès de son Gatsby Le Magnifique, et a montré à qui a voulu y goûter, son 5 ème élément, pour mieux faire ressentir en cet Hôtel André Latin que oui sous les pavés il y a les cocktails.

Sur un Air de Barbara, à l’Arbane, un Tiger échappé de son Alcazar m’a rugi un Give me Five, moi rincé de mon match au Eden Park Pub après avoir suivi les exploits du Castor Club, et j’ai alors filé croquer ma nuit de Prescription dans d’autres bars à bouches pour de belles touches faites cocktails alcoolisées ou non.

Sur un Air de Jim Morisson, j’ai fait mon cirque au bar de Biondi, j’ai été halluciné de Mezcaleria et j’ai alors perçu après un excellent Sherry Butt un No Entry for pain only for pleasure. Le temps de remettre mon Calbar au 1905 et je suis parti armé de mon Bâton rouge à Pasdeloup, sans commune mesure avec le Renard que j’ai été jadis lequel partait au Combat de la nuit faite jour pour y asséner en mode Mini pong un bisou à mon Ober Mamma.

Sur un BelAir de Paul Mc Cartney, un Bluebird plein de Marrow a pris de la Gravity pour filer comme une Flesh, il semblait alors s’échapper de The Shell et s’envola d’un claque d’oie de chez Monsieur Antoine pour y chercher un Boteco.Il tourna autour du café Moderne, puis du Gramont, du Hoxton, pour finalement choisir de se poser tel une Méduse faite parachute terrestre au merveilleux Gallopin.

Sur un Air des Inconnus ,on a rapé un Auteuil Neuilly Brasserie au Bar de Faubourg puis on se sentait tous Popolare au Lockwood après que Jefrey’s ait pris une guitare pour chanter Michelle Mabel, on se sentait tous Gentlemen 1919 au Kléber avec nos grands verres de contact attirés par la lumière Carbon du Manko, mais il nous fallait entrer en Résistance pour chercher en mode Nightflight ma Mary Céleste derrière cette Little Red Door qui nous mènerait finalement à la Candelaria dans cette nuit à la rythmique si Experimental Cocktail Club.

Sur un air de Sunset boulevard, the Beast n’a jamais été en Perdition, malgré ce Balagan, Persifleur, je me suis senti Artisan de la nuit dans ce Bel Ordinaire, cette Bonhomie des justes, et de ces cocktails, de ces voyages, naviguant sur mon Yacht club vers la Copper Bay, volant en mode Paris Texas ou prenant le train Baranaan, je me suis senti, tout au long de cette semaine de plaisir, du 20 au 27 janvier 2018, un membre de ce syndicat des Dirty Dick qui mettent la fièvre du Lipstick sur les lèvres du Bonheur de PARIS.

Jamais la scène cocktail n’a semblé aussi forte sur PARIS, les cocktails sans alcool prennent une belle ascension et de plus en plus on essaye de faire sonner à la cool le sans alcool en usant de savants mélanges qui rappelleraient à la cool, en bouche, le goût de l’alcool.

Lors de cette PCW 2018, mon planning de loup m’a permis de m’enfoncer dans les profondeurs de la nuit faite cocktails et de déguster quelques cocktails de la PCW, et à la carte, dans 11 de ces hauts lieux du shaker où le Zeste compte autant que la Recette.

Petite revue en images de ce délicieux défilé de la Paris Cocktail Week où tous les Bartenders ont délivré tant de talent pour délivrer PARIS de la grisaille et lui arracher des sourires sensationnels.Merci…Shake shake…Happy Happy Shake.

BALAGAN

Torino 75